Alone in the Dark est une série qui a indéniablement évolué. Précurseur du Survival-Horror, avec un excellent premier titre sorti en 1992 ainsi qu'un 4ème épisode marquant - A New Nightmare - il s'est peu à peu dégradé... Et force est de constater qu'avec cet opus, le studio français d'Atari nous offre un nouveau cauchemar.

Edward Carnby...
Alone in the Dark dispose d'une histoire divisée en huit épisodes, eux-mêmes composés de plusieurs séquences.
On incarne le centenaire Edward Carnby, à la recherche de réponses quant à l'effet d'un mystérieux talisman, qui serait à l'origine de l'apparition de monstres.
Une affreuse cicatrice similaire à celle desdits monstres recouvrant la gueule de mister Carnby, il est accusé de faire partie de la race inhumaine. Mais dès l'entame de l'aventure, ses accusteurs étant tués, Edward va devoir se débrouiller seul. Ou pas.

To the rescue...
Seul dans les ténèbres ? Je ne crois pas, non.
On est en effet constamment épaulé par Sarah, femme qui ne vous connaît pas, que vous ne connaissez pas non plus, et pourtant un amour va naître de cette rencontre. Frissons garantis.
Le problème, c'est que vous devrez vous trimbaler cette plaie en string tout au long de votre périple, pour le pire (elle vous bloque dans certains passages) du pire (vous êtes obligés de la réanimer à un moment, pour une phase de Gameplay en QTE des plus merdiques) ... du pire (une voix française minable, les dialogues entre elle et Edward se transforment vite en véritable calvaire).
N'oublions pas de mentionner la présence fréquente d'autres PNJ qui vous viennent en aide, et par la même occasion vous prendront la tête au cours de dialogues inintéressants et pathétiques, qu'on se tape au cours de cinématiques tout aussi ridicules et mal réalisées.

La suite : http://communaute.jvn.com/billet/test-alone-in-the-dark