Le Carrefour de l'époque n'était pas très high-tech, avec une petite vitrine pour accueillir les jeux. Puis je vois ce qui n'est pas une boite à bijoux : c'était une console portable. Ma mère m'a offert celle-ci, avec Astérix & Obélix, Astérix et F1-Race pour commencer. Je n'ai jamais réellement été au bout de ma quelque quinzaine de jeux (excepté les jeux que je viens de vous citer), mais la GameBoy m'a réellement marqué. Des maux de crâne au bout de 2 heures (pas de rétroéclairage), des crises de nerf (perdre 1 heure dans Astérix pour TOUT recommencer), des soulagements (enfin passer le niveau de la diligence de Lucky Luke).

L'arrivée de la PlayStation en août 1999 dans mon foyer a plus ou moins sonné son glas (j'ai complètement zappé le phénomène Pokémon, car dans ma tête d'enfant je détestais ça). Elle est toujours active même si mon père lui préfère son pendant Color vert pomme trouvée en 2002, pour jouer cet été 2015 à une cartouche Tetris servant autrefois pour les magasins, ce qui fait qu'elle date de vieux !